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afrique et autres endroits
28 juillet 2012

"La vague rouge" - nouvelle par Marco Sbandi

 

 

“La vague rouge”

 

La porte de la chambre du bureau était fermée. La queue des personnes qui y attendaient entrer s’ allongeait. D’autres femmes arrivèrent et d’autres hommes aussi. La queue commençait empêcher la libre circulation dans le grand palais du tribunal. Il était dejà 11 heurs. Finalment le huissier  n’arrivant plus maintenir le control sur la queue, appela d’autres employés du tribunal, et les chargés au nettoyage. Les clès de la chambre ne se trouvaient aucune part. Enfin, l’authorisation du fonctionnaire competent octroyé, deux hommes commençerent essayer de forcer la serrure pour entrer. 10 minutes après il étaient à l‘ interieure. Le fonctionnaire exerçant dans cette chambre là avait resté à sa place mais ... il y avait quelque chose dans sa bouche. Un billet incrusté sur sa veste disait : << Avale la source de tes pechés, cochon !! >>.  Les deux hommes qui étaient entré restèrent bouche bée, mais ils allèrent se toucher ses partis intimes. Ce fut une femme la troisiême qui entra, la première de la queue à l’ attente, et un cri terrifiant ce fut ce qu’ elle poussa : le fonctionnaire était assis à sa place son penis dans la bouche arraché par un lourd couteau. Le message sur le papier avait été composé avec le sang du defunt. L’homme était abillé d’ une vieille veste grise plutôt élimé, un pantalon de la même couleur, une chemise blanche essouillé par la sueur, des chaussettes blanche et des mocassins noire. Aux yeux il avait encore ses lunettes épaisses et rondes.

Le soir du jour avant il avait dit à l’huissier d’ avoir encore du travail a achever et de ne pas l’attendre pour fermer, et l’huissier, de sa parte, n’avait pas eu de soupçonne ou de toute façon avait jugé de ne pas mettre en doute les mots d’un fonctionnaire. Le message sur le papier poussa à penser à une revendication politique-religieuse. La lutte contre la corruption et contre toute activité sexuelle hors mariage était devenu parmi les obsessions du parti au gouvernement et tout le monde savait que le même parti revait de substituer les vieils fonctionnaires fiels à la famille royale par des nouveaux fonctionnaires nommés par le premier ministre. Mais  pourquoi on avait choisi justement ce fonctionnaire là ?

L’enquête fut confié à un dirigent de police dont la fidelité à la famille royale était bien sûr. L’homme chercha tout de suite à nettoyer la reputation du fonctionnaire, tout en soulignant la ponctualité à l’entrée et le retard à la sortie comme temoignage de son attachement au travail et fidelité à l’Etat. Il essaya aussi de lui donner des mérites concernant la decouverte, d’après lui, de certaines documents faux qu’il aurait decouvert et empêché de faire son chemin. Mais la presse proche à l’opposition retorqua qu’il s’agissait bien evidenment d’un essais maladroite d’ensabler l’affaire et de faire passer par martyr le fonctionnaire, toute en soulignant la necessité de renouveller le personnel du tribunal qui pour sa grande partie ne l’avait été depuis les choix faites par le vieil dictateur. L’homme chargé de l’enquête, l’attention de la presse et des superieurs figé sur lui, n’arrivait pas d’eclarer l’affair. On ne trouvait que les empreintes du mort sur lui même et les beaucoup d’autres qu’il y avait aux alentours pouvaient être de quiconque aurait eu la necessité d’ entrer pour presenter des dossiers au fonctionnaire. En plus, dans le lac de sang qui s’etait crée sur le sol par l’evirement du defunt il y avait les traces de toutes les personnes qui avaient entré dans la chambre le même matin sans faire d’attention. Le chargé de l’enquête aurait bien sûr perdu son travail s’il ne présentait quelque succès aux superieurs et à la presse. Il etaient dejà deux semaines depuis qu’on avait trouve le premier mort, lorsqu’on une autre porte parmi les beaucoup du tribunal resta fermé. Cette fois on appela la police avant que la porte soit ouverte. Lorsque l’officiel se trouva face à une scène carrèment pareil à celle du premier cas, il eut envie de vomir. L’homme qui était assis son pretendu orgueil dans la bouche, était un compagnon et ami a lui. Sur ce second corps aussi il y avait un message ecrit avec le sang, mais les empreintes etait trop nombreuses et elles ne se trouvaient pas dans les places les plus interessants. Une fois encore le chargé de l’enquête essaya de nettoyer la reputation du defunt mais en vain. A l’exeption de quelque redoutable participation a des operations anti-dorgue, les rumeurs concernant son abus du poivoir ne manquaient pas et sa tache, pour pas determinante qu’elle pouvait apparaître, était parmi celles que le parti au gouvernement desirait d ‘occuper. La carrière du dirigent de police chargé de l’enquête allait être toujours plus precaire, mais c’etait le même danger d’etre la cible de violents attaques par la presse et les superieurs en cas de faillite, qui lui empechait de prendre des decisions.

Finalement l’homme se decida arrêter des jeunes du mouvement pour la democratie au fin de donner à la presse un “monstre” a lyncher. Mais la recherche à la hâte d’ un bouc émissaire se révela dangereuse. Les jeunes arriverent donner a l’avocat,et a la chaine tele Al Jazeera, un film montrant que tous les jeunes arretés se trouvaient participer à une reunion qui se deroula la nuit même de l’ acte meurtrière dans un quartier très loin du tribunal. A l’exeption de quelque juournal sans reputation, la majorité de la presse se convainça que les actes meurtrières n’étaient que le produit d’un affrontemente entre le milieu de la famille royale et le milieu du parti au gouvernement. Finalement un coup de telephon du roi arriva chasser le chargé de l’enquête de sa tache. Il aurait fallu nommer un successeur mais le bras de fer entre le milieu royale et le parti au gouvernement empêcha qu’il soit nommé rapidement. Etant donné l’echoue du chargé du milieu royale, en fin le premier ministre gagna sa lutte pour nommer le nouvel chargé. Le  nouvel chargé de l’enquête s’appressa detruire la reputation des fonctionnaires morts en soulignant au contraire qu’ils étaient renommé par leur abus du pouvoir, leur corruption, et leurs chantages à l’egard des femmes qui lui arrivaient presenter des dossiers. Le mouvant fut donc mis bien en evidence par la presse proche au parti au gouvernement. Mais deux jours s’étaient écoulés depuis la conférence du chargé de l’enquête, qu’il tomba encroyablement d’une fenêtre du tribunal et mouru. Tout le monde compris qu’il s’agissait de la vengeance des fonctionnaires du milieu royale, et en effet aucune preuve resta sans être detruite. Il fallait nommer a nouveau un chargé de l’enquete, mais dans le milieu du parti au gouvernement se repanda la conviction que pretendre la choix aurait condamné a mort le choisi. Une semaine s’écoula sans que aucune enquête concernant les fonctionnaires éxecutés ou le chargé tombée de la fenêtre soit conduite. Pour donner la faute des differents affaires a des agents exterieures et pour reunir l’opinion publique, la presse proche au milieu royale commença lancer l’hypothese selon laquelle les actes meurtrieres avaient ete commis par al-Qaida, mais l’attaché à la culture de l’ambassade des Etats Unis s’appressa dementir la responsabilité du groupe terroriste et offra son aide, en sugerant que la tache de l’enquéte soit donnée au chef de l’ambassade.

Le parti au gouvernement acquiesça tout en se preparant demanteler la reputation du chargé americain. Il n’etaient passè que deux jour apres la nouvelle nomination que un autre fonctionnaire fut retrouvé son penis dans la bouche et le même message composé avec la sang de l’éxecuté et affigé sur la partie arrachée. Le chargé americain qui ne connaissait ni un mot de  l’arabe dialectal se renseigna donner confiance aux hostiles employés du tribunal. Aussitôt il alla comprendre d’être completement isolé. Une semaine  après la presse proche au parti au gouvernement lança son attaque au chargé americaine en soulignant son echec et sa manque de metier. La rage populaire face à l’arrogance de l’ambassade des Etats Unis monta vite et le chef de l’ambassade fit à la hâte ses bagages pour monter sur un avion militaire qui “etrangement” avait descendu sur le sol du pays africain, direction Etats Unis.

Alors ce fut la fois d’un directeur d’ecole privée française de se presenter a la Cour soulignant la connaissance française de l’arabe dialectal et du pays et en offrant l’aide de l’intelligence francaise. Le roi fu content de l’offre et le parti au gouvernement ne s’opposa pas en attendant demanteler une fois encore la reputation du chargé de l’enquête. Le chargé français commença tout de suite son enquête et decouvra que le papier sur lequel on avait ecrit les messages provenait d’un seul bloc, celui qui était exploité pour les photocopies, au rez de chausse du tribunal. Ce bloc de papier là en effet pouvait passer par les mains de plusieurs fonctionnaires et employés, ainsi que par celles des colporteurs qui allaient en faire la consigne, et donc la decouverte n’approchait pas la solution de l’affaire. Le français de tout façon avait montré commencer son enquête, ce qui epouventa les fiels du vieil dictateur. Ceci alors allèrent demander l’aide du president du centre culturel espagnol, qui, ravis, assura d’en parler aux authorités de son pays. L’offre ne pouvait pas etre refusée, il s’agissait d’une bonne chance pour se mêler des affaires interieurs du pays en depit de la présence des colonisateurs plus puissants tels que les francais et les americains des  Etats Unis. Mais la nouvelle de l’accord entre les authorités espagnols et la vieille guarde du dictateur arriva par hasard aux oreils du parti au gouvernement qui decida de passer à l’action. En meme temps que les agents espagnols laissent retrouver le chargé francais en compagnie d’une personne soi-disant transexuel, les militants du parti au gouvernement s’accorderent avec l’attaché commercial de l’ambassade chinois a fin de faire tomber l’espagnol dans une embouscade. Entretemps aucune enquête était menée, mais la vague d’exécutions de fonctionnaires ne s’arreta pas. Ce fut la fois d’un qaïd d’être retrouvé le penis arraché dans la bouche et le même message affigé sur la partie evirée. L’échoue pour le chargé espagnol de l’enquête qui venais de recevoir la tache fut totale et il dû renoncer à sa tache.

La famille royale commença penser que effectivement derriere la vague d’exécutions des fonctionnaires il n y avait que le parti au gouvernement et une reunion d’urgence fut convoque en grand secret dans un palais sur l’Atlas visant à évaluer la chance d’entamer des tractatives. Le roi commença tristement évaluer la chance de renoncer quelque pouvoir à l’avantage du parti au gouvernement, mais il ne savait choisir pas à quoi renoncer. Entretemps le discrédit s’abattant justement sur la monarchie et le parti au gouvernement, qui avait reçu le 30% des voix par le 45% des électeurs, le mouvement des étudiants intensifia sa mobilisation pour protester contre le deux et trouva bien tôt l’alliance avec les syndicats. Monarchie et parti au gouvernement furent toujours plus opposées et le mystère des exécutions des fonctionnaires ne trouvait aucune solution. Finalement le roi decida deçoudre le parliament et declarer la loi martiale, en denonçant un complot terroriste international contre sa même personne. De cette façon le parti qui était arrivé au gouvernement en gagnant les elections précédents avait été expulsé du pouvoir et le roi s’etait empare à nouveau de ces libertés institutionnelles dont il avait declaré en grand tralala la concession dans son discours pre-électoral. Mais ce discours là avec la reforme constitutionnelle n’avait jamais convaincu le mouvement des jeunes, maintenant allié aux syndicats. Ainsi ce changement apparent du roi n’étonna pas les jeunes du mouvement. Le parti qui avait été au gouvernement decida lancer un attaque direct contre la monarchie en soutenant que derrière la mort sanglant des fonctionnaires il y avait des vengeance entre ces apparats de l’état dont on denonçait depuis longtemps la corruption et sourtout l’attitude corruptrice. Le but de l’attaque étant gagner le soutien populaire il échoua complètement étant désormais le parti retenu compromis avec le pouvoir. Entretemps les exécutions des fonctionnaires en lieu de s’arrêter avaient touché aussi les ministères. La terreur et la méfiance mutuelle se repandirent dans les palais du pouvoir. Si se censurer avait ete une regle, maintenant elle ne suffisait pas non plus assurer la vie. Il arriva que certains fonctionnaires commencèrent denoncer les autres dans l’effort désespéré de sauver sa vie. Ainsi d’autres cas d’abus de pouvoir furent amenés au jours et ne manquerent parmi les pires fonctionnaires du palais ceux qui commencèrent inventer même des abus de pouvoir commis par les autres. Des alliances clandestines se creerent d’apres la region de provenance, l’aile du palais, etc. Dans les casernes aussi le panique se repanda, et les jeunes commencerent s’associer pour effacer les veterans. De certaines casernes les recrues s’enfuirent armes a la main en direction des villages d’origine ou des bidonvilles des metropoles où la police ne s’aventurait pas entrer. Entretemps les exécutions de fonctionnaires continuaient en depit de la loi martiale en vigueur et les organisations etudiantines et syndicales au fin de n’être pas aneanti par la repression s’organiserent de façon clandestine dans chaque ville et quartier. La police divise à son interieur abandonna plusieurs casernes et toute hâte. Les sommets de l’Armée commencèrent penser a un coup d’etat visant a destituer le roi, mais la double authorité religieuse et politique de la famille royale rendait cette operation difficile. En effet le pays, se souvenant des sanglants responsabilité des chefs de l’Armée dans les operations de repression qui avaient été declanchées sous le dictateur dans les decennies passées avec rapts, tortures, et asesinats d’oppositeurs politiques et sociaux, ne donnait aucune confiance à une pretendue indépendance de l’Armée face à la famille royale. Le roi en profita pour ordonner la fucilation de differents generaux dont avait perdue toute confiance, en lui donnant la faute de comploter contre la patrie et la famille royale. Une calme apparente dominait dans plusieurs regions du pays. Les manifestations dans les places étaient desparues mais la famille royale était en train de perdre le control effectif du pays. Les fucilations de générals commandées par le roi provoquèrent encore plus de panique dans les casernes, n’étant pas claire comment des militaires choisis par le roi auraient pu s’eloigner de la fidelité à la famille royale même. L’eviration des fonctionnaires commencé comme un mistère très difficile à reçoudre, allait devenir un affaire qui risquait d’ eclater comme une mine flottant dans le milieu du pouvoir oligarchique du pays. Dans les mosquées l’authorité religieuse de la famille royale commença être violemment mis en cause par certains imam. Mais l’opposition à la famille royale et aux milieux compromis avec elle, n’était pas unie du tout. Partis d’inspiration violemment islamiste, partis d’inspiration “liberale” et partis d’inspiration socialiste mantenaient des positions differents concernant les actions a prendre en cas de défaite de la monarchie.

Entretemps le gouvernement israelien, toujours plus discredité pour sa politique d’apartheid menée face aux juifs d’origine africaine, aux palestiniennes, aux immigrés africains et asiatiques qui arrivaient en Israel pour travailler, et les actes de corruption dont s’etaient rendu coupables des presidents du conseil et d’autres eminents personnalitées de l’état, lança l’ennieme campagne pour l’esode des juifs du maghreb envers Israel, en denonçant un soudain danger de génocide dont aurait été victime la communautée juive en cas de defaite de la famille royale au pouvoir. Mais la communauté juive du pays connaissait très bien la situation à l’intérieure pour se faire épouvanter par des nouvelles provenantes de l’extérieure. La communauté juive etait en plus au courante de la necessité des gouvernements israeliens de recluter des nouveux immigrés pour la chasse aux palestiniens, aux beduins, aux immigrés africaines et aussi juifs qui s’opposaient à la politique segregationiste du gouvernement. En plus parmi les personalitès majeures de la communité juive dans le pays africain il y en avait plusieurs avec une longue expérience de la politique nationale et internationale vecu grâce aux taches reçu par le roi. Suite à l’acharnement du gouvernement israelien dans sa campagne pour l’exode, il arriva à certains chefs de la communauté juive du pays africain une autre idée : ils firent arriver à la Cour une voix confidentielle concernant un attentat contre le roi organisé par certains militaires avec le soutien de certains partis islamistes. Venant la voix d’un ex-conseilleur du roi, on pouvait pas la dedeigner à la cour comme une voix sans source. Le roi alors commenca chercher un lieu sûr pour y refugier sa famille, mais quel était le gouvernement auquel il pouvait demander l’asile sans compromettre a jamais son authorité et credibilité ?

Entretemps le parti qui avait ete au gouvernement allait s’eclater par les affrontements interieurs et par l’accusation publique d’avoir accepté la compromission avec le pouvoir centrale. A sa droite d’autres partis d’inspiration islamiste pronaient pour l’application rigide de la shari’a, addressand au parti qui avait ete au pouvori l’accusation d’avoir trahi l’Islam et d’avoir caputulé face aux ennemis constitués par les gouvernements des Etats Unis et d’Israël. Mais les nouvelles generations emus par le suicide de differents filles forcés se marier avec leur violeur, enervés par la montée de l’obsession islamiste contre toute relation sexuelle hors mariage, par les menaces de certains imam envers journalistes et écrivains indépendents qui soutenaient les droits de la communauté lgbt, et aussi par l’evidente contraddiction existente entre le revenu de certaines personalités religieuses et la misère dominant dans les bidonvilles, étaient decidément plus laïques. L’orgueil amazigh et saharaui, ils aussi, pretendaient un nouvel reconnaissement dans un pays affecté par les politiques coloniales empruntées au “divide et impera” qui avaient promu la contrapposition entre arabes et berbères et entre arabes et juifs, au seul avantage des institutions privées françaises qui investissaient dans le bilinguïsme. L’armée etant divisé et dans le chaos, et la chasse aux fonctionnaires d’etat corrompus mais sourtout corrompeurs repandu jusqu’à les wilayas les plus lointaines de la capitale, la rebellion poussa encore et s’organisa pour rexistre. En plus si dans certaines grandes villes le mouvement des étudiants et les syndicats pouvaient compter avec un nombre de militants bien superieure à ce des partis assis dans le parliament, dans certaines regions peripheriques la participation aux éléctions avait toujours été inferieur au 10%. La famille régnant avait essayé d’acheter le consensus de ces populations en investissant de l’argent pour des interventions d’amortissement sociale, mais ceux qui se donnaient compte que l’argent perçu avec l’exploitation des phosphates resté partagé parmi une élite étaient toujours plus nombreuses. Finalment le roi decida de deplacer toute sa famille dans un ksour proche du desert, qui fut completement restructurè en lui donnant des etages secrets au dessous pour rexistre a une longue siège, et des tours amenagées avec des radar très sophistiqués hommage du gouvernement d’Israël. Loin des grandes villes, ou se trouvaient les base de les bases des mouvements etudiantine et syndical mais aussi islamiste, le roi jugea de pouvoir garder sa sureté et celle de sa famille. En plus une piste permettait à son avion personnel de quitter son bunker pour l’atterrissage sur une navire porte-avions qui aurait été prêt le conduire en exile. Desparu la famile royale en grand secret, les guarnisons des grands villes restèrent sans commande. Avec beaucoup de prudence les equipes d’etudiants et travailleurs commencèrent l’occupation des casernes sans effacer qucune resistence si non celle des partis islamistes qui s’étaient donné le même but. Les militaires étaient disparu, les plus jeunes rentrés chez eux, les veterans parti rejoindre le bunker royale ou en majeure partie allés demander un travail de guardien privé auprès de proches et amis. Le roi enfin pour garder sa vie semblait  avoir renoncé a son pouvoir, mais un immense capitale lui restait a investisser lui permettant de rentrer dans l’enjeu politique d’une autre façon. En effet grâce à la technologie il donna un discours à la nation sans sortir de son ksour : il se serait presenté aux éléctions suivants en tant que president d’ un nouvel parti nationaliste.

Le but du mouvement des jeunes semblait atteint, au moins du point de vue institutionnel. Mais qui avait executé ces dizaines des fonctionnaires qui avaient abusé de leur pouvoir de les facons les plus criminelles ? La reponse ¨était plus simple de ce que les chargés des enquêtes avaient imaginé : il ne s’agissait pas d’une seule personne ayant executé tous les fonctionnaires mais d’une petite foule de femmes victimes, dont les empreintes avaient restées sur le lieu de l’éxécution. La recherche d’une seule personne donnant la vengeance à toute les autres avait empeché le development de l’enquête. L’action choral de ce petite foule de femmes avait amené à la defaite le pouvoir qui s’etait dechiré en mil luttes intestines.

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